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Voilà un mot passe-partout qui se retrouve en tête d’affiche ( les électorales notamment ) et dont on commence à ne plus tout à fait saisir le sens. Il est celui qu’on prostitue jusque dans les antichambres ministérielles, dans les complicités des pouvoirs.
Par définition, l’environnement nous entoure, ce qui définit la place de l’être humain au milieu, comme un naufragé sur une île cernée par la mer. Nous n’en faisons donc pas partie. Il nous est extérieur.
C’est là que tout commence, à ce point de rupture, à cette convergence artificielle avec cette prédominance que l’homme s’arroge sur tout ce qui lui  est proche.

Un petit tour de terrain et le constat ne s’avère vraiment pas brillant.
 
Pour écrire juste, il est catastrophique : sécheresse, inondations, tsunami, effet de serre, déforestations, abaissement de la fertilité masculine par overdose programmée de pesticides, pollutions de tous ordres, aggravation de la pauvreté…la liste n’est pas exhaustive mais très dense

Depuis l’ère industrielle, l’activité humaine a fondamentalement changé la face du monde, sans états d’âme autres que de faire avancer l’économie libérale, dans une folle course en avant.
C’est l’accumulation des profits pour quelques-uns au détriment de ce qui les entoure : les laissés-pour-compte, bêtes , gens, nature…
 
Et cette scission est une faille géante, une fracture qui ne cesse de croître, dont la fracture sociale est une triste variante.

L’homme a cessé de regarder le ciel et la course du temps sidéral. Son champ de vision s’est singulièrement rétréci et il a oublié la grandeur des montagnes . Il a oublié qu’il n’est qu’un point de l’univers au même titre que les êtres vivants qui l’habitent. Il a oublié qu’il n’est que le locataire d’une terre qui appartient à tout le monde sans appartenir à quiconque.
 
Il est aussi l’environnement. S’oubliant soi-même, s’éloignant de sa nature, il perd pied, s’éloigne de l’arbre et de l’animal et se perd douloureusement dans le non respect du monde qui l’habite. Alors, il se retrouve seul , responsable, pleinement responsable
 
Le temps est à l’urgence.
Peut-être est-il trop tard ? C’est à nous de le dire.

Nous n’avons plus le temps d’ouvrir le parapluie, d’activer les paratonnerres, nous n’avons plus le temps de faire des causeries, il faut se lever et marcher jusqu’à l’orée des champs.

Se lever, rester debout dans la magnificence du soleil généreux, et croire à l’impossible possible : se réconcilier avec ce monde pour petit à petit, à la mesure de soi-même, le réparer ici et là, le restaurer à la force du poignet, à la force du cœur pour le « réenchanter ».
 
 
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