|
|
|
|
|
|
|
|
|
UNE TECHNIQUE REVOLUTIONNAIRE : la Bioélectronique
de Vincent. |
|
DEFINITION |
Cette technique permet de mesurer scientifiquement
l’état du terrain biologique des êtres
vivants et à partir de 3 paramètres, de dresser
« une carte », une photo instantanée de
leur état de santé.
Une fois ces données acquises scientifiquement, la
modification personnalisée de nos comportements, de
notre hygiène de vie, de notre alimentation, comme
la suppression de certains produits vont modifier sans violence,
le terrain pour tendre vers la zone de la bonne santé.
Il est alors aisé, par d’autres mesures, de suivre
cette évolution en réel. Les résultats
peuvent être spectaculaires. Il est regrettable que
cette méthode, soit aussi méconnue en France
alors que l’Allemagne, Etats-Unis et Canada en font
une plus grande utilisation… peut-être parce
qu’elle nécessite un appareillage, et qu’elle
n’est pas toujours facile à expliquer mais
surtout parce qu’elle permet de déceler un
terrain pré-pathologique avant que la maladie ne
soit là et que cela doit déranger certains
lobbies…La maladie est le fonds de commerce de beaucoup
!
|
|
|
|
LA
TECHNIQUE |
(1) Ils
créent le Centre de Recherches de Bio-électronique-
Avrillé ( dans le Maine et Loire)- 1961. |
|
Cette technique révolutionnaire
remonte à … 1948, date à laquelle son
inventeur génial Louis-Claude Vincent en a élaboré
la méthode , rejoint en 1956 par Jeanne Rousseau (1),
docteur en pharmacie.
Ingénieur-conseil pour les barrages à EDF et
pour tout ce qui concernait les eaux (usées ou non),
Vincent remarqua grâce à une observation et une
analyse intelligentes, qu’il y avait une relation évidente
entre la qualité des eaux (courantes, de source ou
des puits) et la présence de telle ou telle végétation
mais aussi de telle ou telle maladie . A partir de là,
il pose la notion de terrain si chère à Claude
Bernard et devient un chercheur passionné dans la lignée
de ses prédécesseurs Fred Vles, professeur de
physique biologique à l’Université de
Strasbourg et Charles Laville, fondateur de la biologie électronique.
|
|
Il crée, alors, un appareil, «
le bioélectronimètre » et procède
à une série impressionnante de mesures des eaux
à partir desquelles il établit les caractéristiques
des milieux aqueux selon 4 zones : |
|
1-milieu acide-réducteur, zone
de la vie.(l’embryon humain)
2-milieu acide-oxydé, zone de la conservation.
3-milieu alcalin-oxydé, zone de dégradation
(stress oxydatif, pollutions)
4-milieu alcalin-réducteur, zone de destruction.
|
|
Appliquée aux êtres vivants
( composés en majorité d’eau), animaux
et hommes , l’analyse, à une certaine température,
des liquides organiques: le sang, l’urine et la salive,
lui a permis d’établir les données d’un
terrain biologique de santé parfaite et de définir
trois paramètres essentiels : |
(2)
Michel ODOUL, Elske MILES,
La phyto-énergétique- Albin Michel-
2004. |
|
- Le Ph ou potentiel d’hydrogène,
étalonné de 0 à 14.
On comprend que le chiffre de l’équilibre
se situe autour de 7, entre l’acide (<7) et l’alcalin
(>7)
Il indique la concentration en ions H+, c’est-à-dire
le magnétisme positif ou négatif.
- Le Rh2 ou facteur d’oxydo – réduction,
étalonné de 0 à 42 pour
un ph donné.
L’équilibre se situe vers 21/23,. Au-dessous,
la solution est réductrice (gain d’électrons)
et au-dessus oxydée(perte d’électrons).
Il mesure la concentration en électrons, donc la
capacité de l’organisme à se réguler
électriquement .Ce qui permet de mesurer la respiration
cellulaire, si la cellule a suffisamment d’oxygène.
- Le rô ou facteur de résistivité.
Son échelle est très large et se mesure
en ohms/cm3.
Il indique la concentration en électrolytes (sels
minéraux, etc…). Mesures de conductivité
ou d’isolant (viscosité ou fluidité).
Comme le fait remarquer si justement Michel Odoul (2),
chez un individu en bonne santé, le rô du
sang, transporteur de vie est élevé (210)alors
que celui de l’urine, transporteur des déchets
est le plus bas (30) ! A l’inverse, chez un cancéreux,
le rô, du sang baisse et celui de l’urine
augmente, car les déchets ne sont plus éliminés
comme ils devraient.
|
(3) Revue
Bio-Contact –déc 2003. Dossier complet
sur le sujet en colaboration avec l’ABE. |
|
On peut aisément appliquer ces 3 paramètres
à n’importe quel autre champ d’investigation
pour en définir un état « de santé
» ou de « qualité » précis,
scientifiquement indiscutable ( terrain agricole, eau, vin,
produits, aliments, huiles essentielles…)
Cela peut faire plus aisément réaliser la force
de vie de la nature.
Puisque nous ne savons plus regarder autour de nous et que
nous perdons notre faculté d’émerveillement,
ne citons que quelques exemples parlant :
- clou de girofle = résistivité 4000 ohms
- eau du Mont Roucous= 40000 ohms
- eau de Vittel= 960 ohms .
Les études bio-électroniques comparatives réalisées
(3) confirment que les produits
de l’Agriculture biologique sont plus vivants et permettent
de tendre vers les paramètres de la bonne santé
, ce qui rejoint l’étude récente du Pr
Joyeux.
Il en est de même pour les sols en agriculture.
Le sol traité a un terrain fragilisé, très
oxydé, porte ouverte au parasitisme ce qui entraîne
dans un cercle vicieux un usage intensif de chimie. Le sol
n’est plus respecté dans sa dynamique, sa structure
est détruite et en conséquence quelle est la
qualité alimentaire des légumes qui y poussent
? La réponse est évidente…
Comment s’étonner alors de nos fatigues, de nos
allergies galopantes, de nos dépressions qui montent
en flèche et de nos maladies de dégénérescence
malgré une médecine très présente?
|
(4) ASSOCIATION
BE, 5, rue du Colonel-49190-Denée |
|
L’intérêt de la Bio-électronique
n’est plus à démontrer. Elle constitue
une des techniques les plus fiables de la prévention
pour une « gestion globale et naturelle de la santé
» comme le défend l’Association de Bioélectronique(A.B.E)
(4) de Vincent qui édite
un bulletin « Sources Vitales ». |
|
Depuis 1989, date de sa création,
cette association œuvre pour promouvoir cette méthode
avec nombre de scientifiques. Nous n’avons pas leurs
compétences, cela va sans dire, notre propos était
seulement d’apporter une petite pierre à l’édifice.
Nous n’avons fait qu’aborder schématiquement
cette technique, nous le savons mais cela nous semblait d’importance
pour en souligner tous ses potentiels , son efficacité
comme méthode unique de prévention ou de restauration
de la santé ou des sols, dans une démarche de
prise en compte globale de l’individu , de résistance
à toutes les pollutions et au-delà, tout simplement
pour le respect de la Vie . |
|
|
|
|
|
|